Notre Dame Saint Didier |
Histoire de la paroisseAu 10ème siècle, notre paroisse de Saint-Didier-au-Mont-d’Or Au 12ème siècle, elle est rattachée au diocèse de Lyon, qui
La révolution française supprima le Conseil de Fabrique, Napoléon 1er, en France, imposa au Pape un Concordat qui Sous la Restauration, les évêques et les prêtres Sous le Second Empire, Napoléon II réimposa le Concordat. La Loi de Décembre 1905, imposée par le En 1910, notre paroisse perdit donc la propriété de |
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Les équipements techniques au fil du tempsAu fil du temps et dans la limite des ressources financières de la paroisse et de la Commune (surtout depuis 1905), notre église a été très bien entretenue et a bénéficié des progrès techniques1911, l’arrivée de l’électricité permet de remplacer l’éclairage aux chandelles. 1938 : installation d’une horloge et automatisation des cloches par les Ets CHARVET de Lyon. 1958 : des lustres chauffants à gaz remplacent les poêles à bois. 1959-1960 : grosses réparations sur la toiture du clocher et de la nef, suite aux dégâts causés par un violent orage. 1967-1968 : réparation des vitraux et doublage en verre cathédral, démontage de l’ancien autel et de la table de communion, sablage des piliers, nettoyage de l’église encrassée par la fumée des poêles. 1970 : rénovation complète de l’intérieur de l’église, mise à nu des murs et rejointoiement des pierres, enlèvement des lambris de l’abside, du chemin de croix dans les nefs latérales, de la chaire en pierre et des statues anciennes. Installation d’un nouvel autel face au peuple, rénovation de l’éclairage et installation d’une sonorisation. 1971 : à l’initiative du Père Maurice FEYEUX, la paroisse fait l’acquisition d’un orgue à tuyaux d’occasion, déjà très ancien (de facture MERKLIN) acheté à la paroisse de la Mulatière. 1988-1990 : Réfection des vitraux sous la direction de l’architecte MORTAMET (Bat de France). 1993 : installation d’un chauffage à air pulsé. La sacristie EST est transformée en oratoire. La Municipalité loue deux niveaux du clocher à 3 opérateurs de téléphonie mobile, pour y installer leurs antennes. 2004 : l’association des Amis de l’orgue alerte la municipalité sur l’état déplorable de l’orgue qui présente de graves signes de dysfonctionnement. Après expertise, il s’avère qu’il est irréparable. Une étude est lancée pour son remplacement. 2008 : installation d’un nouveau matériel de sonorisation.et mise en lumière par la Municipalité de l’extérieur de l’église 2012 : convention tripartite signée entre la mairie, les Amis de l’orgue et la paroisse pour financer le nouvel orgue (Facture d’orgue : Michel JURINE. Bénédiction le 18 mai 2014 par le cardinal Ph. BARBARIN. Dans un avenir proche, la révision totale de la toiture sera nécessaire car elle présente des graves défauts d’étanchéité. |
L'histoire de notre égliseEn 970, le cartulaire de l’abbaye de Savigny dont dépend la paroisse, cite l’«ecclésia Sancti Desiderii »
Au 12ème siècle, on a connaissance d’une église romane entourée d’un cimetière, dans le hameau du vieux bourg. |
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Architecture de l’égliseL’église a été construite en style néo-gothique, à la mode au 19ème siècle. Les murs sont en pierre de l’ancienne carrière de la Thomassière et les piliers en pierre de Lissieu. Elle peut contenir 650 fidèles.1 - La façade sud : typiquement gothique. Le porche supporte la statue de NOTRE-DAME, œuvre originale de Joseph Fabisch (1812-1886) qui fut le sculpteur officiel du diocèse de Lyon. 2 - Le clocher s’élève à 40mètres et abrite 3 cloches dont 2 petites tintent les quarts et demie heures avec un marteau et une plus grosse qui sonne à la volée et provient de l’ancienne église. La date de 1784 et la liste de tous les parrains restent gravés et lisibles malgré son grand âge. 3 - Les fonds baptismaux et le soubassement de l’ancien autel qui représente la nativité. 4 - La statue de Saint Didier, évêque de Vienne (Isère) mort martyr en 830 repose sur le soubassement de l’ancienne chaire. 5 - Le mémorial des 71 paroissiens morts pour la France. 6 -La nef centrale s’élève à 15mètres pour une longueur de 40 mètres. La voûte, ogives et lambris, a été réalisées en châtaignier et recouverts de toile de jute en 1970. Cette particularité contribue aux bonnes qualités acoustiques de l’église. 7 - Les nefs latérales Est et Ouest ont une hauteur de 7,5 mètres et les voûtes sont en bois, comme la nef centrale. 8 - Le transept Est, est occupé par le nouvel orgue du facteur JURINE (17 jeux à ce jour ; extension à 27 prévue). Derrière celui- ci, le vitrail représentant Saint Didier évêque n’est plus visible. 9 - Le transept Ouest est la chapelle de la Vierge. Elle est éclairée par le vitrail de l’Assomption et sur l’autel domine la statue de la Vierge et l’enfant Jésus (œuvre du sculpteur QUINTRIX) installée en 1972. Sur les murs Sud et Ouest ont été disposées les anciennes cimaises en chêne qui avant 1970 garnissaient les murs de l’abside. 10 - Dans le chœur, l’autel installé en 1970, après la rénovation de l’église est en pierre de Bourgogne bouchardée. Le sol est en pierre de VILLEBOIS. Les marches en pierre de LABEAUME ont été rénovées lors de la réfection du chauffage en 1993. 11 - La sacristie Est a été transformée en oratoire en 1990 .Elle sert aussi de lieu d’accueil des enfants pendant la liturgie de la parole certains dimanches. 12 - La sacristie Ouest est meublée d’une belle et fonctionnelle crédence. Elle a été réduite de moitié en 1993 pour installer la nouvelle chaufferie. 13 - L’abside, embellie de magnifiques vitraux du 19ème siècle est surmontée d’une grande croix de style celtique. Les Vitraux ont été tous démontés et rénovés entre 1988 et 1990 par trois maîtres verriers : Sarl VITRAIL(44), L. BLANCHET (92) et B. DHONNEUR (13). |
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